D’une ascension pas comme les autres, le jeune culturel Jean-Luc RAMAZANI connu plus sur son dicton : « la puissance respecte la puissance » est entrain de défrayé la chronique au fur et à mesure les jours se lèvent et se couchent.
Très tôt, il se lance dans la danse avec le groupe super boys où il s’illustre jusqu’à gagner un le prix smirth qui est un prix inter-communauté ecclésiale « CV » comme on dit très souvent. Il aurait accédé à ce mérite grâce à la main seconde de son frère pour qui il a beaucoup d’admiration.
En 2010, dans avec une humeur très tendancieuse, il embrassa l’art de l’écriture en rédigeant des poèmes et exécutant non des slams pour le public infantile mais aussi du rap qui va continuer d’être l’expression de l’attachement à la force inspiratrice de son ainé de frère, Jean-Robert.
L’année 2013, après avoir gagné un concours provincial d’éloquence sous la direction de Jeannot Kalenga, il s’y illustra jusqu’à se lancer dans les animations des festivals ou comme le terme figé le veut : « promo-scolaires ». Ces dernières vont occasionner la rencontre séculaire avec l’une des figures de proue des promoteurs culturels, Thomas Losango, dans la ville de Bukavu et plus généralement au Sud-Kivu.
L’année 2014 quant à lui fut caractérisée, en sa pleine progression vers sa fin, par l’entrée dans le monde des chroniqueurs où le quotidien était le don du coup de pouce aux artistes pour qu’ils vivent eux-mêmes de leur talent.
Dans le but d’épanouir les jeunes talents et bien d’autres qui n’ont pas de renom jusque-là, son action s’est avéré salvatrice de plusieurs jusqu’à ce que Thomas Lusango le nomma coordinateur adjoint du Centre culturel Ndaro.
Cette averse des promotions a fait son ascension dans le monde culturel Bukavien jusqu’à ce que la Radio Mama le retienne comme animateur pour plus approfondir ses atouts de chroniqueur.
Rédaction Aristote Bagabo, Journaliste et écrivain